En ce Noël 2021, il semble temps de divulguer un secret existentiel, un secret sur nous qui éclairera de sa lumière quels que soient les ténèbres rencontrés.
L’arrivée de Jésus sur terre, fils de Dieu, signe l’avènement d’une civilisation où l’Homme ne peut se prendre pour Dieu respectant les règles d’équilibre du cosmos. Chacun quelque soit son origine, son parcours ou sa couleur de peau, a alors, les mêmes grâces et dignité tels les rois Mages. Pas d’égalité de clones, non ! car nous sommes chacun unique et différents mais une égalité absolue de droit et de respect en dignité. Le racisme est donc en effet, un crime, en France ainsi que le communautarisme et les privilèges. La France est la fille aînée de l’Eglise et la patrie des droits de l’Homme car, ayant extirpé le pouvoir divin des rênes de l’Etat, elle inscrit dans le marbre de nos lois la vision du monde laïque et de l’Homme qu’a insufflé Noël et le catholicisme pour veiller à leur propre destin.
Tu as une chance inouïe et insoupçonnée de détenir la nationalité française car elle nous donne, contrairement aux autres démocraties libérales du monde, le droit absolu de pouvoir nous autodéterminer avec nos congénères en tant qu’Homme et Citoyen ; tous égaux en dignité. Le « sang impur » de la Marseillaise témoigne aussi de nos origines de sang mêlé car c’étaient les aristocrates et les nobles qui avaient le sang «bleu», le sang «pur».
Ces droits sont sacrés et inaliénables -donc personne ne peut nous en priver car ils sont donnés par la nature elle-même et non la justice humaine. Nul être, nulle instance ne nous donne en France le droit de décider de notre destin commun. C’est notre droit le plus absolu et naturel de le faire; n’en déplaise aux tyrans de tous poils voulant organiser notre amnésie pour mieux nous asservir et nous faire rentrer dans le rang. Ce principe est, en effet, toujours des plus révolutionnaires encore aujourd’hui, car les autres dirigeants du monde ne cessent de vouloir nous le confisquer (fuite de Louis XVI à Varennes, restauration de la monarchie, occupation allemande et aujourd’hui l’Union européenne et l’OMS). Après guerre, ce fondement révolutionnaire de notre patrie a été restauré tout en haut de notre Droit suprême, notre constitution (notre Loi des lois). Ainsi est proclamée solennellement notre « Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789» dans le bloc de Constitutionnalité de la V° République :
« l’Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Être suprême, les droits suivants de l’homme et du citoyen. ».
En 1948, la déclaration universelle des Droits de l’Homme signé à l’ONU (ou de l’Union européenne) ne pouvait receler un tel principe révolutionnaire, car elle aurait privé les dirigeants de leur pouvoir de contrôler et décider pour leur peuple comme c’est le cas ici en France. On imagine bien qu’aucun pays n’aurait voulu signé notre déclaration de 1789 ! Ils ont donc enlevé « droit naturel » et « citoyen » pour l’essentiel ; faisant de nos droits des droits relatifs et non plus absolus comme en France, les confiant à la justice humaine auto proclamée mondiale.
Sache que la culture dont nous sommes héritiers porte en son cœur, les fondements de « Liberté, d’Egalité et de Fraternité » directement issus de l’avènement de Jésus qui nous donne toute dignité à disposer de nous même et nous protège ainsi de la tyrannie d’élites ou de caste (marchands du temple) pour pouvoir répondre par nous même à notre propre nécessité, nos propres besoins.
Le racisme est un crime qui permet aux tyrans d’exploiter les pulsions les plus mauvaises de la nature humaine pour nous diviser en tant que peuple et ainsi conserver son pouvoir illégitime et pervers. De même, l’ignorance de nos droits sacrés pour s’aligner sur les autres démocraties libérales où ces mêmes droits sont consentis par une instance ou groupe d’hommes, est aussi un crime car il prive le monde de notre rôle universel français d’émancipation des peuples par sa conception unique du monde et de l’Homme.
Espérant que le dévoilement de ce secret pervers qui masque nos origines et les fondements du vivre ensemble et détruit la biodiversité culturelle, éclairera les ténèbres qui obscurcissent jour après jour notre futur où les puissances d’argent veulent tuer la mort et se substituent à Dieu par leur folie transhumaniste et d’humain augmenté et connecté. Un asservissement et une dépossession de notre propre corps pour mieux les contrôler et développer leur volonté de toute puissance absolue.
Compte sur nous pour nous battre jusqu’au dernier souffle pour préserver cet héritage vital pour l’humanité et pour l’avenir du monde : celui de la dignité des peuples et des êtres humains à disposer d’eux-mêmes contre les psychopathes qui se prennent pour homo deus.
Ce secret te permettra, je l’espère, de prendre le temps de lire en entier tous les droits qui t’ont été transmis par notre Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen ci-jointe ; et de leur réelle signification dans ta vie et pour l’avenir de tous. On nous les a confisqués sournoisement en organisant notre ignorance et la confusion dans notre constitution par 19 révisions constitutionnelles à notre insu tout en développant la peur, la haine et le racisme pour nous diviser.
Il te sera alors possible de comprendre et savoir quel type de société tu souhaites avoir pour ta vie d’adulte et ceux de ta génération et des futures. Un combat éternel qui se présente de nouveau et doit mobiliser chacun de nous!
La liberté guidant le peuple -Eugène Delacroix
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789
Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
En conséquence, l’Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Être suprême, les droits suivants de l’homme et du citoyen.
Article 1er
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Article 2
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.
Article 3
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
Article 4
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Article 5
La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
Article 6
La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Article 7
Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance.
Article 8
La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Article 9
Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Article 10
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.
Article 11
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Article 12
La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Article 13
Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Article 14
Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
Article 15
La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.
Article 16
Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.
Article 17
La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.
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